Aimée Rose
Rich
Aimée Rose Rich intègre l'isdaT en danse contemporaine en 2012, après un passage auprès de la Merce Cunningham Dance School et de la Trisha Brown Dance Company à New York. Elle y rencontre notamment Marion Muzac, auprès de laquelle elle deviendra collaboratrice chorégraphique pour la création Let's Folk ! en 2017. Au cours de la formation Extensions qu'elle a suivie de 2014 à 2016 au CDCN de Toulouse, elle travaille notamment avec Daniel Linehan, Dominique Brun, Agathe Pfauwadel, Brigitte Asselineau, Stéphane Imbert. Diplômée de Lettres modernes, Aimée-Rose s'interroge autour du texte, de la voix et du corps dans ses premiers soli appelés Trois en un. Lauréate de la résidence Création en cours des Ateliers Médicis en 2018, elle co-réalise une vidéo-danse en collaboration avec la paysagiste Flora Rich et le réalisateur Sofian Achabe autour de la question du territoire périurbain et du corps périphérique. Interprète auprès de Nedjma Merahi, elle rejoint Marion Muzac dans la pièce Let’s Folk !création 2018 qui questionne l’accès des publics aux codes culturels et propose de travailler autour des danses dites « populaires ».


anne
vaglio
Anne Vaglio est née à Nice en 1976. Eclairagiste, formée à l’école du Théâtre National de Strasbourg (1999-2002), et à l’Université (master 2 art et langage - EHESS), elle crée les lumières des spectacles de Daniel Janneteau (Les Aveugles, Faits, Le reste vous le connaissez par le cinéma), Jeanne Candel (Tarquin), Gérard Watkins (Scènes de Violence Conjugale, Ystéria), Eddy Pallereau (Intimités), Christophe Perton ( Au but), , Olivier Coulon-Jablonka (Chez les nôtres, Pierre ou les ambiguïtés, Paris nous appartient, From the Ground to the Cloud), Marion Muzac (Ladies First, Let’s folk), Marie-Christine Soma (Les Vagues), Arthur Nauziciel (Faim), Alexandra Lacroix ( La Chatte métamorphosée en femme, Et le Coq, d’autres le giflèrent …), Anna Nauziere (La Petite),
Gislaine Drahy (III), Hédi Tillette de Clermont-Tonnerre (Métropolis, Agamemnon), Sarah Siré (Two Characters), Philippe Eustachon et la Compagnie Anomalie (Le Grand Nain, Mister Monster, Les Larmes de Bristelscone), du collectif DRAO. Par ailleurs sa collaboration avec le scénographe Alexis Bertrand l'amène à créer les lumières pour des expositions : Chili l'envers du décor, à l'espace Louis Vuitton, Nice to be dead, puis 2001-2011 Soudain Déjà à l'Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris.


Emilie Faïf
Emilie Faïf est scénographe - plasticienne.
Toujours attachée à travailler sur des formes vivantes, ses réalisations alternent entre installations, scénographies et projets participatifs.
Le corps est l’un de ses thèmes de prédilection. Elle l’explore dans ses sculptures ainsi que dans de nombreuses collaborations avec le monde de la mode, du spectacle vivant et de l’Art.
Le textile, matière familière et proche de l’épiderme, est l’un de ses matériaux privilégiés.
Emilie Faïf le travaille pour sa faculté à réagir au mouvement et pour ses multiples possibilités de transformation. Gonflé, structuré, soudé, rembourré, le tissu est utilisé comme une matière organique, capable de répondre à une recherche de formes en perpétuel mouvement.
Depuis 2016, Emilie Faïf travaille aux cotés de Marion Muzac. Elle a réalisé les scénographies de Ladies First et de Let’s Folk ! Cette collaboration artistique se poursuit actuellement avec MU et Etreinte(s).


GUILLAUME FERNEL
Diplômé d’un master de musicologie de l’Université de Strasbourg et après la rédaction d’un mémoire sur « L’écoute musicale à l’ère du numérique », Guillaume se lance dans l’administration et la gestion de projets culturels.
En 2014, Guillaume rejoint la Compagnie Théâtre du Frêne en tant que chargé d’administration culturelle, puis administrateur. C’est à la suite de cette expérience qu’il se lance dans l’accompagnement administratif et la production de plusieurs compagnies de théâtre et de danse (les Epis Noirs, Shonen, Compagnie Arzapar…).
En 2016, il s’associe à Perrine Brudieu pour créer un bureau de production, Le Phare, avec comme objectif de mutualiser leurs compétences et leurs expériences au service des compagnies.
Depuis, ils accompagnent ensemble plusieurs compagnies de danse : L’Octogonale (direction Jérôme Brabant), MZ Productions (direction Marion Muzac), As Soon As Possible Productions (direction Nina Vallon).
Guillaume est également administrateur de production de la Compagnie Eukaryota (compagnie de danse dirigée par Elodie Sicard), de la Grave et Burlesque Équipée du Cycliste (compagnie de théâtre dirigée par Mohamed Guellati) et de Petite Foule Production (compagnie de danse/théâtre dirigée par Marine Colard).


JÉRÔME
BRABANT
Jérôme Brabant est né à La Réunion en 1973.
Après des études théâtrales à l’université Paris 8, il suit l’enseignement à l’école du mime Marcel Marceau de 1996 à 1999, puis la formation professionnelle Extensions au Centre de Développement Chorégraphique Toulouse / Midi-Pyrénées en 2001. Il travaille avec la Compagnie *Melk Prod / Marco Berrettini de 2001 à 2006. Il participe aux pièces L’opérette sans sou, si…, New movements for old bodies et Clo-clopinettes. Jérôme collabore également avec Patricia Ferrara / Groupe Unber-Humber et danse dans toutes les créations de 2004 à 2010. De 2005 à 2007 il est aussi interprète pour la compagnie Samuel Mathieu et fait un passage par le théâtre avec Lisa Guédy en 2008. Il fonde avec Marion Muzac le UND und ballet […], ils créent ensemble Roomy Dancing en 2002, GALA en 2003 et Pavillon en 2004. En 2010 Jérôme commence une collaboration jusqu’à ce jour avec Mié Coquempot, Compagnie K622. En 2011, il crée la compagnie L'Octogonale.


JELL-OO
JOHANNA LUZ ET
VINCENT BARRAU
Leurs compositions Pop Folk aux harmonies ciselées révèlent les deux personnalités marquantes de ce duo. Johanna Luz et Vincent Barrau, deux musiciens chanteurs au talent immense et d'une extrême générosité.
Leur répertoire est le fruit d'une collaboration dans lequel ils composent, arrangent et écrivent les textes à deux avec l'envie de véhiculer l'émotion à travers ce qui est authentique, sincère et profondément sensible.
Leurs textes sont une narration poétique du quotidien, portés par une musique acoustique et chaleureuse dont l'univers évolue aux croisements de leurs parcours respectifs, assortie des couleurs du jazz, de la richesse de métissages de styles qui leurs sont chers (pop, folk, soul). Le fil conducteur de ces créations est la voix, leurs deux voix, en leads ou en choeurs.
Durant quatre ans de tournées à travers la France, dans des salles de spectacles, des Festivals, des clubs, des théâtres ou en premières parties de personnalités comme Ben l’Oncle Soul, Maurane, Goran Bregovic, Barbara Carlotti, Mariana Ramos, Claudia Tagbo ou Axel Bauer, le duo a su se démarquer et séduire son public.
Après le succès de l'album "Sail" de 2014 à 2016 ponctué par de nombreux concerts en duo ou avec les musiciens ayant participé à l'album, un passage marquant à l' Olympia, le duo sort son nouvel EP "MOON" (en duo) en mai 2019.



MATHILDE
OLIVARES
Depuis 2003, Mathilde Olivares se forme auprès des chorégraphes et metteurs en scènes qui influencent son travail, notamment : Mark Tompkins, Meg Stuart, Benoit Lachambre, Sophie Perez & Xavier Boussiron, Germana Civera, Carmelo Salazar, Odile Duboc, Raimund Hogue, et récemment Maguy Marin.
Pendant son année de formation au CDCN de Toulouse / Midi-Pyrénées en 2007, elle rencontre la chorégraphe Patricia Ferrara avec qui elle collabore étroitement comme interprète sur différents projets chorégraphiques pendant près de dix ans. Sa rencontre avec le metteur en scène Christophe Bergon en 2008 est elle aussi décisive, puisque dans ses pièces, elle est aussi bien danseuse que comédienne et goute au plaisir de la voix, de la langue et plus largement de l’écriture dramaturgique du plateau. Elle fait à ses côtés la rencontre d’Antoine Volodine puis de Camille de Toledo chacun auteur de deux pièces dans lesquels elle jouera. Par ailleurs, elle travaille avec le chorégraphe Montpelliérain Didier Théron sur deux pièces, intègre la cie Trisha Brown pour les Early Works, se frotte au travail de jeunes chorégraphes tel que Nans Martin (cie les laboratoires animés - Paris), Lise Romagny (cie inattendues - Toulouse), Benjamin Forgues & Charlie Merlet (cie les gens Charles - Toulouse).
Depuis 2016, de nouvelles collaborations voient le jour. Tout d’abord, aux côtés de Marion Muzac, avec qui elle entame un cycle de pièces chorégraphiques autour de la pratique des publics amateurs (Ladies first et Let’s Folk !), tour à tour assistance chorégraphique et interprète. Sylvain Huc, prochainement artiste associé au CDCN de Roubaix, lui propose également de l’assister sur son solo LEX. Cette première rencontre débouche sur une autre pièce Sujet(s) (Jouée au festival Montpellier danse 2018) dans laquelle elle sera interprète et assistante chorégraphique.
Très attachée à la notion d’écriture collective et collaborative, c’est au sein des cies La Collective et Rapprochées qu’elle en expérimente les implications pour ses premiers projets de chorégraphe entre 2009 et 2016, auprès de ses complices Mélissa Garcia Carro (danse), Benjamin-Aliot Pagès (danse), Christophe Barrière (musique, lumière). Aujourd’hui, Mathilde souhaite aussi poursuivre
ses propres projets dans la cie zzz.


MAXIME GUILLON
ROI-SANS-SAC
Diplômé en Information et Communication, Maxime intègre le groupe de recherche chorégraphique de l'université de Tours en 2007. Il poursuit son enseignement en danse contemporaine au sein de la formation "Extensions" du Centre de Développement Chorégraphique de Toulouse où il rencontre le travail de Christian Rizzo, Alain Buffard, Vincent Dupont, Sophie Perez et Xavier Boussiron. Il se concentre, ensuite, sur ses premières recherches chorégraphiques lors du Programme de Recherche et de Composition Chorégraphique de l'abbaye de Royaumont. Durant cette formation il étudie les pratiques de Myriam Gourfink (yoga de l'énergie), Catherine Contour (hypnose), Noëlle Simonet (cinétographie Laban) En parallèle il développe, depuis 2012, un projet photographique "Digression".
En 2014, il participe à un projet de reconstitution du sacre du printemps de Vaslav Nijinski et Igor Stravinsky, “Sacre #2,” dirigé par Dominique Brun. Il collabore avec Margot Dorléans sur la pièce “Vertébrés”, et a travaillé avec Samuel Mathieu pour “La dynamique des émotion”, projet autour d’Yves Klein et Pierre Soulages.
Il rejoint l’équipe de “Primitifs”, production de Michel Schweizer, qui interroge la place du vivant et son engagement face aux transformations qu'il traverse.
Depuis 2017, il travaille à destination du jeune public, notamment avec "Bouture d'un sacre", projet de création et de transmission pour deux classes de primaire de Besançon, et "De tête en cape" pièce jeune public de la chorégraphe marseillaise Balkis Moutashar.


Mostafa AHBOURROU
En 2000, Mostafa découvre la danse dans l’univers des pas traditionnels marocains avec la troupe Banane. Durant ces années d’initiation, il décide de se consacrer à cet art et continue sa quête avec la danse contemporaine en travaillant avec des chorégraphes comme Khalid Benghrib, Meriem Assari Jasouli et Imad Manssour.
En 2007, il poursuit pendant 3 ans son apprentissage par l’étude de nouvelles formes de danse : Modern-jazz avec Patricia Spigarelli et Franck Mass. En parallèle, il participe à diverses émissions de télévision Marocaine comme danseur et chorégraphe.
En 2011, Mostafa quitte le Maroc pour la France et séjourne à Toulouse pour suivre la formation « Extensions » de chorégraphe et d’interprète au Centre de Développement Chorégraphique Occitanie, des temps fort avec Robyn Orlin, Christian Rizzo, Alain Buffar, et le metteur en scène Mladen Materic.. Il complète sa formation en intégrant l’Institut Supérieur des Arts de Toulouse - ISDAT- en 2013 pour obtenir le Diplôme d’Etat de professeur de danse Contemporaine. Il travaille parallèlement en France et au Maroc avec les chorégraphes et Compagnies : la Cie Assomanifeste,, le Jeune ballet Marocain, Marion Muzac ( Let’s Folk ), la compagnie Arabesque et le Théâtre le vent des signes - Anne Lefévere-.En 2016, il créé son premier solo "CHAMBRE Zéro" en collaboration avec la chorégraphe Marion Muzac.
Au Maroc, Mostafa transmet son apprentissage à des jeunes danseurs marocains. Il y donne des formations et y chorégraphie ses nouvelles créations, “Bou’Jalabba”, pièce pour 6 danseurs en 2014 avec le jeune ballet marocain, “Halka”, pièce pour 10 danseurs avec l’association Arabesk et “Au nom de dieu” duo créé en 2015 dans le cadre du festival de danse contemporaine de Casablanca.
Il se consacre prioritairement à la danse contemporaine et à la danse traditionnelle Marocaine tout en continuant à puiser dans son vocabulaire de gestuelle.


PERRINE BRUDIEU
Diplômée en communication et en études théâtrales, Perrine Brudieu a été coresponsable de l’équipe d'accueil au Théâtre National de Chaillot à Paris, où elle a travaillé pendant 9 ans. Parallèlement, elle a aussi été administratrice de la compagnie Hercub’ à Villejuif et a longtemps pratiqué le théâtre amateur, en tant que comédienne. Le DESS de gestion culturelle de Paris-Dauphine, suivi en formation continue, lui a permis ensuite de conforter ses choix professionnels et de s’orienter définitivement vers l’administration et la production pour des compagnies. En 2004, elle a rejoint la compagnie de danse DCA - Philippe Decouflé, en tant que chargée de production où elle était notamment en charge des tournées qu’elle organisait et suivait. Après 6 années passées dans cette structure, elle a ensuite décidé de prendre en charge plusieurs compagnies de danse, théâtre ou musique qu’elle accompagne au niveau de l’administration et/ou de la production. Elle travailleactuellement pour la Compagnie L’octogonale (danse), MZ productions (danse), le Théâtre du Frêne (théâtre), la Compagnie du Huitième jour (théâtre), Tac tac
production (musique - ciné concerts).


RACHEL
GARCIA
Rachel Garcia est artiste dans le champ des arts performatifs. Designer et danseuse de formation elle crée les costumes et les scénographies de nombreux chorégraphes en particulier David Wampach et Hélène Iratchet avec qui elle a co-signé plusieurs performances, mais aussi de Sylvain Huc, Heddy Maalem, Vincent Tomasset, Emilie Labédan, Aude Lachaise, Yuval Rozman, Julie Desprairies, Robyn Orlin….etc.
En collaboration avec l’artiste Pauline Curnier-Jardin elle développe un univers spécifique via la création des costumes et des scénographies de ses performances, films et installations. Elle a co-signé avec elle la performance Crèche vivante en 2012, à la Fondation Cartier pour l’Art Contemporain, et créé les costumes des films Grotta Profunda, les humeurs du gouffre et Blutbad Parade, l’univers plastique de la performance The Resurrection puddle, ainsi que l’installation immersive et cinématographique Grotta Profunda approfondita.
Elle collabore actuellement avec le chorégraphes Pol Pi, pour les pièces Alexandre et Daté-e-s ainsi que pour la performance Me too, Galatée.
En qualité de chorégraphe, elle a créé le duo Delection Palace et co-signé avec Marion Muzac Le Sucre du Printemps, pièce chorégraphique pour 27 jeunes danseurs de danses urbaines.
Depuis 2015 elle intervient sur des temps forts de culture chorégraphique et de workshop trans-disciplinaires à l’ISDAT.


valentin
mériot
Valentin Mériot commence la danse à 16 ans, à Vitry-sur-Seine, avec le projet TryËma, échange amateur avec la chorégraphe Lia Rodrigues et son jeune groupe Nucleo 2.
Il se forme ensuite aux Rencontres Internationales de Danse Contemporaine en tant que danseurs, puis poursuivi à l’Institut des beaux arts de Toulouse pour son EAT en 2017 et retourna aux RIDC où il obtenu son Diplôme d’état de professeur de danse contemporaine en 2019.
En 2018 il participa en tant qu’artiste chorégraphique sur l’Opéra “la Traviata” au Théâtre des Champs-Elysées.
Il intègre la formation Extensions 2019-2021 du Centre de développement chorégraphique national, La Place de la Danse à Toulouse.
Lors de ses années de formation, il rencontra différents chorégraphes lors de création comme Régine Chopinot, Christine Gérard, Pauline Maluski, Nans Martin, Julie Nioche, Martin Barré…
Valentin créé “Calligraphie de l’espace”, un solo qu’il fera évoluer au cours des années.


laurent
eisler
Laurent Eisler est artiste plasticien, il vit et travaille à Marseille.
Diplômé en illustration de l’école Émile Cohl de Lyon en 1998, sa recherche plastique se déploie depuis de façon multidisciplinaire. Sa pratique va du dessin contemporain à la peinture, en passant par la sculpture, le design graphique, la céramique ou encore la vidéo.
Il collabore avec des créateurs dans le champs du spectacle vivant, notamment avec le musicien Franck Litzler avec qui il conçoit des machines sonores, et le chorégraphe Jérôme Brabant pour qui il crée des vidéos et des scénographies. Son travail en peinture s'inspire des univers du jeu et la danse contemporaine. Il collabore régulièrement avec galerie Fotokino à Marseille. La revue de danse Ballroom et le site Anglais It's Nice that, lui ont récemment consacré des portfolios. Il expose au Manège-Scène nationale de Reims en 2018.


edmond
carrère
Edmond Carrère est l’auteur de à l'infini, le portrait de soignants dans un hôpital psychiatrique, (sélectionné à Vision du Réel 2018, étoile de la Scam 2018). Il est également l’auteur de deux essais documentaires explorant la relation entre les hommes et leurs territoires : Miage et Mato. Il réalise également des clips musicaux pour les groupes : Chantal Morte, Loki Starfish, Louise Roam, Infecticide... Il collabore également avec la compagnie de théâtre le GdRA en participant notamment à Singularité Ordinaire, Vifs, Sujet, Lenga et dernièrement L’enlèvement au Sérail. Tout en s’investissant dans le cinéma documentaire, il explore aujourd’hui l’écriture cinématographique en fiction avec Maximum Moderne son premier court-métrage à ce jour en développement.

